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Pennac, Daniel 
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Pourquoi aime-t-on lire? Pourquoi n’aime-t-on pas lire? Comment se développe le goût de la lecture, comment s’entretient-il, où trouver le temps de lire, quoi lire, comment le lire, ou métacognition du lecteur. Ce petit texte réfléchit sur l’acte de lire pour le plaisir. J’ai été tout à fait emballée par ce bouquin. J’aurais eu envie de dire à l’auteur à quel point je suis souvent d’accord avec lui. D’accord avec l’idée qu’on enseigne mal aux jeunes ce qu’est la lecture, et que si l’on s’étonne de leur dégoût des livres, c’est un peu de la mauvaise foi, puisque nous les avons forcés dès leur apprentissage à lire des trucs plutôt rébarbatifs. Nous demandons rarement, dans un cadre scolaire, leur avis aux jeunes avant de leur imposer corvées de lecture, alors que nous nous rebifferions nous-mêmes, même en lecteurs passionnés, à lire des textes imposés. Pennac fait l’apologie de la lecture à haute voix, des histoires racontées du parent à l’enfant et vice-versa, du droit de choisir ce que l’on veut lire, du droit de ne pas aimer les classiques, etc. L’amoureux des livres y trouvera son compte. J’aurais eu envie aussi de le faire lire à tous mes collègues étudiants en enseignement, puisque j’y ai appris beaucoup.
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Vicky Corich
(60 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | | Date :
2/1/2007
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Pennac, Daniel
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Je viens tout juste de terminer Comme un roman et comme plusieurs membres de la liste, j'ai trouvé cela génial! Pennac nous donne ses fameux droits du lecteur, en expliquant la raison d'être de chacun (et j'avoue que tout cela se tient bien!), mais surtout il traite de pourquoi les jeunes n'aiment pas lire et à qui la faute. Je dois avouer que cette partie-là m'a fait rire et réfléchir. En fait, je connais plusieurs personnes dans mon entourage qui n'ouvrent pas de livre. Ils en ont une telle aversion que l'on dirait qu'ouvrir un livre va les tuer sur place! Alors lire les différents chapitres m'a fait rire et attristée, car combien de personnes passent à côté du bonheur de lire!
Je n'en rajouterai pas trop, car presque tout le monde a déjà critiqué ce livre, mais bon, pour ceux qui ne le connaissent pas encore, je vous le recommande chaudement! Un bon moment de détente avec un livre qui parle des livres, peut-on demander mieux?
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Catherine Tessier
(75 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | | Date :
11/1/2002
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Pennac, Daniel
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Quand Daniel Pennac se met à parler livres, ça devient sacrément
intéressant. On le sait pour avoir lu la saga Malaussène, la lecture est
quelque chose de très important pour l'auteur. Mais il nous la présente
d'une manière qui est bien loin de la pontifier. Il se présente en tant que
professeur qui essaie d'amener le goût de la lecture à ses élèves. Il
n'impose pas la lecture, mais l'offre pour ce qu'elle est : du plaisir, et non
une épreuve scolaire sanctionnée d'une note en fin de parcours. Il essaie
alors d'expliquer pourquoi, de manière générale, les jeunes ne lisent pas,
pourquoi ils n'aiment pas lire. Et nous voilà partis dans un plaidoyer plus
qu'entraînant sur la lecture, sur le plaisir de lire, sur les livres. Pas de
discours lénifiant, pas d'obligation, juste un piège : goûtez à la lecture
et vous n'en démordrez plus. Que la vision de Pennac soit trop utopiste ou
non, on n'a qu'une seule envie malgré tout, se laisser bercer par l'auteur.
Tous les thèmes courants qui entourent l'acte de lire sont passés en revue : le temps de lire, la télévision, l'école et ses lectures
obligatoires barbantes, les lieux de la lecture, les goûts. Mais aucun sujet
n'est abordé sous le thème de la polémique ou du procès, l'auteur
n'incrimine personne mais nous montre combien on a tout à gagner à lire...
Pour tous les amoureux des histoires que nous sommes, comment peut-on
résister à Comme un roman?
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Cédric Blanchard
(308 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | | Date :
avant 2001
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Pennac, Daniel
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Relecture encore une fois. Lu la première fois en 1997. Éblouissement.
Envie de le relire. Nouvel éblouissement.
Pennac aborde le thème de la lecture, l'histoire qu'on lit à l'enfant le
soir avant qu'il s'endorme, puis l'apprentissage de la lecture,
l'apprentissage scolaire, l'abandon des parents ou plutôt leur désistement :
l'enfant sachant lire pourquoi lui lire encore une histoire?... Pennac tient
aussi un discours sur la piètre envie de lire des adolescents d'aujourd'hui,
le lecture à l'école, quel fardeau... À travers toutes ces pages, Pennac nous
parle de l'envie de lire, d'être dans les livres, dans l'histoire. Il parle
de sa propre expérience de lecteur. Puis page après page, il nous fait
glisser vers les droits du lecteur, ces fabuleux droits du lecteur qui ont
été maintes et maintes fois repris.
Le style de Pennac est simple, direct, agréable à lire. Son petit essai ne
se veut pas ambitieux, mais accessible.
Et entendre parler de la lecture sur le ton de la conversation, cela ne peut
qu'être très chouette et faire réfléchir.
Je crois que tous les pédagogues de la Terre (parents compris) devraient
lire ce livre avant d'aborder la lecture avec des enfants, que ce soit lire
une histoire ou faire apprendre à lire ou donner à lire. Et peut-être que
tous ces ministres de l'Éducation de la planète Terre devraient s'y mettre
aussi... À mon sens, il devrait même y avoir un ministre de la Lecture (donc
des bibliothèques), ce serait tellement plus simple...
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Véronique J. Laliberté
(84 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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Édition : Gallimard, 1992, 197 p.
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| | | Date :
avant 2001
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Livre(s) de Daniel Pennac critiqué(s) sur le Guide
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